L’Evidence et l’évanescence
Nous présentons, nous voyons, nous tentons d’évoquer les œuvres sur papier de Gilles Aillaud qui pourtant se suffisent à elles-mêmes. Non comme une période d’un travail qui se déploie à partir de 1949, mais dans la logique d’un processus créatif cohérent. Papiers donc, au pluriel, incluant en particulier l’impressionnante série D’après nature – Encyclopédie de...Lire plus